Vivre, quand on a seize ans, au sein d'un clan de sorcières sociopathes n'est pas facile tous les jours, moi, je vous le dis.
Entre les cours de sortilèges, de potions et de magie élémentaire des Vikaris, je suis au bout du rouleau.
Alors, si en plus, on commence à ramasser les cadavres dans tous les coins, je sens que je ne vais pas tarder à provoquer un massacre.
Parce qu'on peut dire ce qu'on veut : la patience, chez nous, n'est décidément pas un trait de famille...
Bon, par quoi je commence ? Ce livre est dans l'univers de Rebecca Kean, une série dont je suis fan, mais ou malheureusement les tomes se font beaucoup trop attendre à mon goût. Ici, on retrouve Léonora, fille de Rebecca Kean et d'un vampire. Leonora à deux parents très puissants et n'aurais jamais du pouvoir naître étant la fille d'un vampire, chose inconcevable.
Dans la saga Rebecca Kean, on avait pu entre apercevoir la cruauté des sorcière Vikaris, mais là, ici, avec Léonora qui a atterrie dans leur clan pour suivre leur instruction, je dois dire que c'est vraiment, comme elle le dit si bien, des psychopathes.
Mais voilà, Léonora n’appartient pas à la même déesse que les Vikaris, elles vénèrent Akmaleone, tandis que Leonora appartient à Héla, la déesse de la mort. Car Leonora est en un autre point différente des autres, elle est unique. Puisque Leonora est une Yamadut, mais normalement les Yamadut ne sont qu'esprit, Leonora est la seule à être vivante.
Le premier tome de cette saga ne manque pas d’action, je dois dire que dès les premières pages, Léonora bouge déjà dans tous les sens, elle m’a beaucoup fait pensé à Rebecca et il y a aussi les touches d’humour avec des sorcières psychopathes complètement étonnantes, mais aussi les répliques de Léonora qui est bien la fille de sa mère.
Mais voilà, Léonora n’appartient pas à la même déesse que les Vikaris, elles vénèrent Akmaleone, tandis que Leonora appartient à Héla, la déesse de la mort. Car Leonora est en un autre point différente des autres, elle est unique. Puisque Leonora est une Yamadut, mais normalement les Yamadut ne sont qu'esprit, Leonora est la seule à être vivante.
Le premier tome de cette saga ne manque pas d’action, je dois dire que dès les premières pages, Léonora bouge déjà dans tous les sens, elle m’a beaucoup fait pensé à Rebecca et il y a aussi les touches d’humour avec des sorcières psychopathes complètement étonnantes, mais aussi les répliques de Léonora qui est bien la fille de sa mère.
“ Pour le peu que j’en sais, apprendre à disséquer un cadavre en 14 morceaux tête et pieds compris, n’a de
véritable intérêt que pour deux catégories de personnes : Les tueurs en série humains férus de puzzles et les
cannibales (parce que ça prend moins de place dans le congélateur). Pour les autres, les novices,
les inexpérimentés, il existe des méthodes bien moins fastidieuses et chronophages pour se débarrasser d’un
corps. J’avais donc un peu de mal à comprendre pour quelle raison Anthéa avait à tout prix tenu à inclure dans
sa longue liste ayant pour titre « comment se débarrasser d’un cadavre », un cas pratique aussi assommant.
véritable intérêt que pour deux catégories de personnes : Les tueurs en série humains férus de puzzles et les
cannibales (parce que ça prend moins de place dans le congélateur). Pour les autres, les novices,
les inexpérimentés, il existe des méthodes bien moins fastidieuses et chronophages pour se débarrasser d’un
corps. J’avais donc un peu de mal à comprendre pour quelle raison Anthéa avait à tout prix tenu à inclure dans
sa longue liste ayant pour titre « comment se débarrasser d’un cadavre », un cas pratique aussi assommant.
- Mamie, tu es vraiment certaine que c’est nécessaire ? Mon tablier va être foutu ! râlai-je en me demandant
pourquoi elle ne m’avait pas fourni une tronçonneuse plutôt qu’un énorme couteau de boucher et une hachette
ridicule.
- Coupe en biais ou tu vas tomber sur l’os, se contenta-t-elle de répondre en fronçant les sourcils. ”pourquoi elle ne m’avait pas fourni une tronçonneuse plutôt qu’un énorme couteau de boucher et une hachette
ridicule.
Dans ce premier tome, Léonora et Ariel, son fidèle amie et aussi garde du corps, même si elle n'en a pas vraiment besoin. Arielle et Léonora se connaissent depuis des années et celui-ci à décidé que leur différence d’âge n’avais plus d’importance que Leonora était assez vieille maintenant et est bien décidé à lui faire voir et comprendre les sentiments que tous deux éprouvent ne sont pas que basé sur une longue et grande amitié. Comme-ci Léonora avait besoin de ça avec la menace qui pèse sur sa grand-mère et les autre Vikaris.
Alors pour info. Ce premier tome est censé être lu après le 6éme tome de Rebecca Kean, après si jamais vous n’avez pas lu la saga Rebecca Kean vous pouvez lire celle-ci comme même, je pense, mais il vous manquera quelque petite information, mais ce n’est pas quelque chose qui vous empêchera de comprendre, par contre de mon point de vue, ce serait une grave erreur, car cette saga vaut énormément le coup.
Avec cette saga, on entre dans le cœur de l’éducation très strict et mortel des Vikaris, mais on apprend aussi à découvrir le personnage de Michael, le père de Leonora et vampire très puissant, même s’il n’arrive pas à la cheville de Raphaël, humm, je veux relire Rebecca Kean !!!
Alors pour info. Ce premier tome est censé être lu après le 6éme tome de Rebecca Kean, après si jamais vous n’avez pas lu la saga Rebecca Kean vous pouvez lire celle-ci comme même, je pense, mais il vous manquera quelque petite information, mais ce n’est pas quelque chose qui vous empêchera de comprendre, par contre de mon point de vue, ce serait une grave erreur, car cette saga vaut énormément le coup.
Avec cette saga, on entre dans le cœur de l’éducation très strict et mortel des Vikaris, mais on apprend aussi à découvrir le personnage de Michael, le père de Leonora et vampire très puissant, même s’il n’arrive pas à la cheville de Raphaël, humm, je veux relire Rebecca Kean !!!
EN BREF : un premier tome sur les aventures de Leonora juste super qui m'a replonger dans l'univers de Rebecca Kean et elle m'avais manqué. Car il y a pas à dire, ici l'expression telle mère, telle fille est plus que véridique. À lire absolument et vivement la suite.
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