"Toute ma vie, on m'a fait comprendre que je n'étais qu'un putain d'incapable sans la moindre valeur... A ses yeux, je vaux quelque chose. J'ai l'impression soudaine que le monde est à moi."
Roméo Prince n'a pas toujours été la mascotte de l'équipe de football américain de l'université d'Alabama. Non. Avant d'être un jeune homme séduisant et fort, attirant à lui tous les regards, il a été un gamin mort de peur, pris en otage entre des parents cruels. Un gamin qui a cru longtemps qu'il n'était bon à rien. Mais ses parents n'ont reculé devant aucun châtiment pour faire de lui une vedette.
Aujourd'hui, Roméo n'existe plus qu'à travers le regard de Molly Shakespeare, qui aime jusqu'à ses faiblesses. Mais peuvent-ils à ce point dépendre l'un de l'autre alors que leur histoire ne fait que commencer?
Bon que dire, vous connaissez déjà mon avis sur ce livre,, puisque j’avais eu un coup de cœur pour la version de Molly dans “Sweet home” et je dois dire que la version de Rome est beaucoup plus torturé à lire et du coup encore plus plaisant, car j’ai beau avoir eu un coup de cœur pour le premier, le second est encore meilleur.
Ce point de vue de l’histoire était très poignant, je dois dire que les passages qui m’avaient fait pleurer dans la version de Molly m'ont ému, mais sans me faire verser ma larme, mais d’autres passages s’en sont chargés à la place. Car il y a pas à dire Roméo à beau dire et faire le dur devant tout les gens de sa FAC, il n’en reste pas moins un être humain vulnérable par certains aspects de sa vie.
“ Mais je viens d’avaler le dernier pop-corn, et Molly m’arrache le bol des mains.
— T’es censé être un athlète, non ? C’est pas un peu trop chargé en sucre, graisse et autres merdes pour toi ? T’as tout fini, morfale !
— T’es censé être un athlète, non ? C’est pas un peu trop chargé en sucre, graisse et autres merdes pour toi ? T’as tout fini, morfale !
Je renâcle et bande un biceps, savourant son petit regard impressionné.
— Je suis une putain de machine de guerre, Shakespeare : le pop-corn ne fait pas le poids contre moi.
— Oh, navré : j’oubliais que je parlais au terrible, au redoutable… Flash ! lance-t-elle, et ses mots me font l’effet d’un ice bucket challenge impromptu.
— Hé, tout doux…, l’avertis-je sans le moindre humour.
— Alabamaaaaaaaa, lève-toi pour acclamer ton quarterback vedette, Roméooooooo « Flash » Prince ! « There’s a bullet in the gun. There’s a fire in your heart. You will move all mountains that stand in your path… »Elle chante, morte de rire, la putain de chanson que les gars du son balancent dès qu’on me voit à l’écran à Bryant-Denny 10, mais ça me met en colère : elle capte pas que je suis sérieux. Je l’attrape par les poignets et la force à me regarder. ”
— Je suis une putain de machine de guerre, Shakespeare : le pop-corn ne fait pas le poids contre moi.
— Oh, navré : j’oubliais que je parlais au terrible, au redoutable… Flash ! lance-t-elle, et ses mots me font l’effet d’un ice bucket challenge impromptu.
— Hé, tout doux…, l’avertis-je sans le moindre humour.
— Alabamaaaaaaaa, lève-toi pour acclamer ton quarterback vedette, Roméooooooo « Flash » Prince ! « There’s a bullet in the gun. There’s a fire in your heart. You will move all mountains that stand in your path… »Elle chante, morte de rire, la putain de chanson que les gars du son balancent dès qu’on me voit à l’écran à Bryant-Denny 10, mais ça me met en colère : elle capte pas que je suis sérieux. Je l’attrape par les poignets et la force à me regarder. ”
Je ne vais pas vous re-raconte tout mon avis sur l’histoire, ce serait me répéter, puisque en plus, je vous ai mis le lien de celle-ci plus haut. Avec cette version, on découvre certes le point de vue de Roméo, mais contrairement à ce que l’on pourrait penser ce n’est pas qu’un simple copier/coller, puisque nous avons aussi le droit à des passages inédit qui concerne Roméo ou bien vu par lui sans qu’on ne l’ait lu dans la version de Molly.
Et puis il y a aussi qu’avec ce tome nous avons un aperçu plus long sur la fin et un épilogue qui se déroule 20 ans plus tard ou on retrouve tous les personnages de Sweet home et d’ailleurs, le mari d’Ali n’a pas l’air de plaire à Roméo, qui est-il mystère, mais j’ai tout de même une petite idée.
“ Je me sens même si bien que je donne dans la plaisanterie : un rictus confus s’esquisse sur ses lèvres. Elle ne voit pas où je veux en venir.
— Mes côtes. Est-ce qu’il en manque une ?
Elle se penche en avant pour s’en assurer, tâtonnant le long de mon torse.
— OK, je pense que tu n’as plus toute ta tête, là…, marmonne-t-elle, amusée. Tu crois vraiment que tu as perdu une côte ?
— Je me disais juste que Dieu m’en avait peut-être pris une quand il t’a faite…
Je sais que c’est nase, mais merde : je suis une bille niveau romantisme, et ma Molly mérite ce que je peux faire de mieux. Elle mériterait les mots les plus doux et poétiques au monde, mais je n’ai pas de quoi l’honorer à sa juste valeur…”
— Mes côtes. Est-ce qu’il en manque une ?
Elle se penche en avant pour s’en assurer, tâtonnant le long de mon torse.
— OK, je pense que tu n’as plus toute ta tête, là…, marmonne-t-elle, amusée. Tu crois vraiment que tu as perdu une côte ?
— Je me disais juste que Dieu m’en avait peut-être pris une quand il t’a faite…
Je sais que c’est nase, mais merde : je suis une bille niveau romantisme, et ma Molly mérite ce que je peux faire de mieux. Elle mériterait les mots les plus doux et poétiques au monde, mais je n’ai pas de quoi l’honorer à sa juste valeur…”
Comment vous dire que j’ai très hâte de lire le tome 3, qui sera sur Lexi & Austen, ah la la, c’est pour bientôt heureusement.
EN BREF : Une version encore meilleure que la première avec des personnages toujours aussi attachants, mais avec un Roméo tellement chou qu’on a envie de le prendre dans nos bras et ne plus le laisser partir.
Et bien ton avis est tentant sur cette série :)
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