Désir extrême

Tout juste divorcée, Lucy est de retour chez sa mère quand une annonce pour un poste au marketing de chez ExTreme attire son attention. 

À l’entretien, elle découvre que le patron est Jace, qu’elle a connu au lycée. Elle tombe sous le charme de ce barbu à l’irrésistible accent anglais, d’autant qu’il flirte ouvertement avec elle ! 

Quelques jours plus tard, il l’embauche et lui demande de s’habiller sexy pour un rendez-vous d’affaires au sein d’un club privé. Lucy comprend que ExTreme fabrique et vend des objets sexuels ! Après le choc de cette découverte, elle se prend petit à petit au jeu et s’investit dans l’entreprise, sous le regard ardent du séduisant Jace.

 Tout d'abord merci à Robin et aux éditions J'ai lu pour ce service presse.

Que dire, j’aime beaucoup l’auteur qu’est Emilie Snow que j’ai découvert avec sa saga Your toxic Sequel que j’aime aussi énormément. 

Ici, l’auteur nous raconte l’histoire de Lucy, une jeune femme retourne vivre chez sa mère à Boston, loin de son ex-mari pour qui elle travaillait et qu’elle a surpris en train de la tromper avec son partenaire. Mais celui-ci à décidé de lui mener la vie dure et fait tout ce qu’il peut pour faire en sorte qu’elle ne soit embauché par personne.

Quand Lucy arrive face au PDG d’une nouvelle entreprise pour laquelle elle passe un entretient, elle est surprise de retrouver Jace, ancien camarade de classe avec qui elle ne faisait que se “disputer”, elle première de classe un peu prude et lui un débauché. Tout deux attirés l’un par l’autre en secret, comment dire que dès le départ elle pense que son entretien est mort.

“ — Arrête de faire ça. Tu vas l’étaler, déclare-t-il sèchement, posant ses pieds sur le sol avant de se redresser.

J’avais oublié qu’il dépassait le mètre quatre-vingts, et le cœur tambourinant, je le détaille de pied en cap, de ses
bottes à la pointe de ses cheveux décoiffés.

— Je suis désolée, si c’est trop voyant, je peux l’enlever. Je n’étais pas sûre d’avoir bien compris, et je n’ai pas
encore reçu le code vestimentaire de l’entreprise.

— Le code vestimentaire, répète-t-il l’air songeur, les coins de sa bouche frémissant.

Il se place devant le bureau, contre lequel il adosse sa silhouette longiligne. J’ai beau faire tout mon possible pour
l’éviter, je ne peux pas m’empêcher de survoler du regard son jean noir, qui semble avoir été cousu sur ses jambes,
et les manches courtes de son tee-shirt blanc qui épousent ses biceps. La dernière fois que je l’ai vu, sa chemise
cachait la plupart de ses tatouages. Ce soir, ses bras sont visibles et avec eux, toute une guirlande colorée de mots
et de motifs éclatant sur sa peau dorée et ses muscles bien dessinés.

Il croise les bras, rompant mon examen.

— Tu apprécies la vue, trésor ?

— J’admire juste les tatouages.”

Bon comment vous dire, Lucy ne sais absolument pas pour ce que vend l’entreprise pour lequel elle postule en marketing et je dois dire que Jace va se la jouer taquin en lui laissant la surprise lors d’un premier RDV client. Et quel surprise.

Ce livre n’est pas rempli de scène de sexe, bon on est tout de même dans une romance très érotique que je ne conseillerais pas ce livre à de jeunes personnages, car l’entreprise de EXtrême de Jace est une entreprise artisanale qui crée des accessoire et toute sorte de jouet pour les plaisirs du corps, un sex shop artisanal et sur mesure.

Entre Jace & Lucy, on peut dire que l’attraction et la tension entre eux est très forte et tout les deux essaie tant bien que mal de résister, mais plus jour passe et plus ils ont du mal à résister et leur environnement de travail n’aide pas non plus à calmé les tensions.

J’ai vraiment beaucoup aimé, c’est deux personnages et je dois dire que je me suis prise à fond dans leur histoire, j’ai adoré les suivre les voir enduré la tension entre eux était juste délectable et je n’aurais pas été contre plusieurs autres pages de leurs histoires.

EN BREF : une petite romance érotique superbe que j'ai adoré lire, avec des personnages attachants que j'ai adoré lire, et une auteure dont j'adore toujours autant la plume.