- Auteur : Wilder, Jasinda
- Édition : Michel Lafon
- Genres : Romance
- Sorti : 23/10/2014
- Prix : 15.95€
- Pages : 429
- Format E-book : 7.99€
MA NOTE
« Jason Dorsey était la dernière personne sur terre que je m’attendais à avoir au téléphone… »
Rejeté par Nell, Jason, la star de l’équipe de football du lycée, se rabat sur la timide et bégayante Becca. Celle-ci a du mal à croire qu’elle va passer la soirée avec le garçon qui obsède ses pensées depuis toujours. Il est si populaire, et elle, si transparente…
Aucun d’eux ne se doute encore qu’ils s’apprêtent à vivre une romance des plus torrides. Mais les années d’insouciance sont bientôt rattrapées par l’alcoolisme du père de Jason et la schizophrénie du frère de Becca.
Entre la fièvre des premiers émois charnels et les épreuves de la vie, leur passion résistera-t-elle ?
Alors que dire de ce second tome, c'est un avis assez mitiger tout de même. Pourquoi ? Et bien parce que je dois avouer que je me suis un peu ennuyé dans ma lecture, l'histoire de Becca & Jason et certes pas mal on voit leur vie défilés pendant 8 ans, mais quand je lis une romance ce que j'aime c'est voir des complications dans le couple, un petit truc qui met de l'intérêt dans la lecture. Ici au départ Becca & Jason font face à la mort de Kyle et nous avons beaucoup de choses de déjà vu puisque ce tome-ci est en parallèle du tome 1.
Il n'en reste pas moins que j'ai versé ma larme à plusieurs reprises, car cela reste une lecture très émouvante, mais qui manque de rebondissement.
Quand j'ai lu le résumé de ce tome 2, je me suis imaginé des personnages devant affronter l'alcoolisme et autre d'un père abusif, chose qui ce passe dans la première partie, mais aussi la schizophrénie du frère de Becca et je ne l'ai pas trouvé assez exploité dans le livre, même si c'est une chose importante dans les derniers quart du livre, mais l'auteur aurais dû l'exploiter un peu plus.
EN BREF : Une histoire très belle et touchante, mais qui manque de rebondissement, je me suis pas mal ennuyé.
Je n'ai pas aimé le premier, je passe mon tour !
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