Elle est le genre de femme que personne n’ose contrarier. Personne, sauf lui
Jo n’a pas l’habitude qu’on lui tienne tête. Il faut reconnaître qu’avec ses cheveux bleus, ses nombreux tatouages, son franc-parler et son expertise en mécanique, la plupart des gens qui la croisent détournent le regard.
Mais pas Andrew Anderson. Le bras droit de Mme Nichols – la puissante femme d’affaires qui vient de la recruter comme chauffeur particulier – aurait même tendance à la défier ; une attitude hautement risquée de la part de cet homme charismatique qui donne au costume-cravate une tout autre dimension.
Jo ne s’y trompe pas : sous ses dehors policés, Andrew Anderson dissimule un tempérament de guerrier. Et elle a bien envie de tester le self-control de son nouveau collègue…
Tout d'abord, merci à Mélanie et aux éditions Harlequin pour ce service presse.
Bon comment te dire, pourquoi j’ai voulu le lire, et bien à sa sortie, quand j’ai lu le résumé, je n’ai pas pu ne pas demander ce livre à Mélanie, que je remercie. Une jeune femme rebelle, tatoué avec un sacré caractère contre un homme certes beau, mais un peu coincé, comment ne pas vouloir le lire, et petit plus Mily Black est normande comme moi.
Bon, je vais commencer par te parler du personnage de Jo, c’est une jeune Parisienne qui après un sale coup de son copain et un ras-le-bol face à son infidélité quitte tout pour partir loin de lui et de ces coups tordus, et la voilà qui arrive à Boston. C’est une jeune femme qui n’a pas eu une vie facile abandonnée par sa mère à 10 ans, son père jeter en prison à 13, oubliées des service sociaux elle s'est retrouvé adopté par un couple de voisin super, elle fait tout pour s’en sortir.
Andrew est un jeune homme, bras droit d’une riche et puissante PDG d’entreprise, il est assez collé monté, froid et pour ce qui est de faire confiance à Jo, pas facile.
La rencontre. Et bien, Jo travaille au black pour un garagiste et alors qu’il essaie une voiture pour trouver le bruit suspect que le client décrit tombe sur une voiture en panne, une chose en entraînant une autre, je ne vais pas tout te raconter non plus, elle va se retrouver employé comme chauffeur de Mme Nichols, la patronne de ce cher Andrew Anderson.
« … Il est nu !
Non ce n'est pas possible. Il doit avoir un caleçon que je ne vois pas d'ici... un micro caleçon ?
- Monsieur Nichols, il est l'heure de se lever, dis-je sans trop y croire.
Il bouge, se retourne sur le ventre sans prendre la peine de me répondre. Ça aurait été trop facile !
- Monsieur Nichols, vous avez rendez-vous dans trente minutes au restaurant avec votre mère et M. Anderson.
Enfin, je crois... S'il conduit ma patronne au restaurant, c'est bien pour y manger avec eux, non ?
- Reviens te coucher ! grommelle la masse toujours allongée sur le lit.
- Debout !
Ma patience a des limites et elle est a déjà été sérieusement mise à mal depuis mon arrivée à l'entreprise ce matin. Ma voix a claqué, sans
provoquer la moindre réaction. Super !
- Votre accent est adorable...
C'est bien la première fois qu'on trouve quelque chose d'adorable chez moi !
- Vous pourriez m'expliquer son origine... allongée près de moi.
- Ou vous pourriez vous lever avant que je n'aille chercher un seau d'eau froide.
Ce type a réellement ronronné à l'évocation d'une douche glacée ?
- Je vais faire votre café. A mon retour, vous avez intérêt à être dans la salle de bain !
- Rappelez-moi, on a été présentés ?
- Jo, je remplace Robert
- Dieu bénisse ma mère ! s'exclame-t-il. Ne m'en voulez pas, mais un réveil de votre part est bien plus... agréable. Robert est un bel homme
pour son âge, mais définitivement pas mon genre !
….
Non ce n'est pas possible. Il doit avoir un caleçon que je ne vois pas d'ici... un micro caleçon ?
- Monsieur Nichols, il est l'heure de se lever, dis-je sans trop y croire.
Il bouge, se retourne sur le ventre sans prendre la peine de me répondre. Ça aurait été trop facile !
- Monsieur Nichols, vous avez rendez-vous dans trente minutes au restaurant avec votre mère et M. Anderson.
Enfin, je crois... S'il conduit ma patronne au restaurant, c'est bien pour y manger avec eux, non ?
- Reviens te coucher ! grommelle la masse toujours allongée sur le lit.
- Debout !
Ma patience a des limites et elle est a déjà été sérieusement mise à mal depuis mon arrivée à l'entreprise ce matin. Ma voix a claqué, sans
provoquer la moindre réaction. Super !
- Votre accent est adorable...
C'est bien la première fois qu'on trouve quelque chose d'adorable chez moi !
- Vous pourriez m'expliquer son origine... allongée près de moi.
- Ou vous pourriez vous lever avant que je n'aille chercher un seau d'eau froide.
Ce type a réellement ronronné à l'évocation d'une douche glacée ?
- Je vais faire votre café. A mon retour, vous avez intérêt à être dans la salle de bain !
- Rappelez-moi, on a été présentés ?
- Jo, je remplace Robert
- Dieu bénisse ma mère ! s'exclame-t-il. Ne m'en voulez pas, mais un réveil de votre part est bien plus... agréable. Robert est un bel homme
pour son âge, mais définitivement pas mon genre !
….
- Debout, marmotte, avant que je n'utilise les grands moyens !
- Il me tarde de vous voir à l'action !
Je me tourne vers lui. Un sourire en coin et le regard malicieux, il me fixe en attendant quelque chose de ma part. Mais quoi, aucune idée !
Comprenant que je n'obtiendrai rien en m'y prenant ainsi, je vais dans le couloir chercher le seau, que j'apporte tranquillement.
- Vous bluffez ! rit-il en me tournant sur le dos.
Il a tout de même la décence de placer un bout de drap sur son entrejambe.
Je me place à bonne distance et lui donne encore la possibilité de s'en sortir "sec" :
- Dernière chance.
- Vas-y, mets tout ce qui tu as bébé !»
- Il me tarde de vous voir à l'action !
Je me tourne vers lui. Un sourire en coin et le regard malicieux, il me fixe en attendant quelque chose de ma part. Mais quoi, aucune idée !
Comprenant que je n'obtiendrai rien en m'y prenant ainsi, je vais dans le couloir chercher le seau, que j'apporte tranquillement.
- Vous bluffez ! rit-il en me tournant sur le dos.
Il a tout de même la décence de placer un bout de drap sur son entrejambe.
Je me place à bonne distance et lui donne encore la possibilité de s'en sortir "sec" :
- Dernière chance.
- Vas-y, mets tout ce qui tu as bébé !»
Je vais être franche avec toi, j’ai adoré cette histoire, le couple qui est complètement à l’opposé l’un de l’autre, encore un “les opposer s’attire”, je suis fan, l’attirance qu’ils sont l’un pour l’autre, le style de l’auteur aussi, j’ai beaucoup apprécié, et j’ai hâte de lire autre chose d’elle.
Alors tu te demandes pourquoi je n’ai pas mis une meilleure note, même si celle-ci est plutôt bonne. La fin. Mais c’est quoi cette fin ou l’intrigue n’a même pas été résolue.
Ah oui, je ne t’ai pas parlé de l’intrigue, Mme Anderson reçoit des lettres de menace, et même s’en prend à sa vie et son entreprise, personnellement, j’avais un coupable tout désigné, mais je ne serais jamais si j’avais raison, sauf si l’auteur nous fait un second tome, car personnellement vu la fin, je verrais bien un autre tome sur la continuité de l’intrigue avec comme couple central Sam, la meilleure amie de Jo qui la rejoint pour travailler à Boston comme secrétaire de William, le fils de Mme Nichols. Mais bon, je ne suis pas l’auteur et pour le moment, je n’ai rien vu qui puisse nous faire penser à une suite. Dommage.
EN BREF : une super histoire, l’émotion est là., j’en ai versé des larmes, les personnages sont attachant, l’intrigue tient en haleine, mais une déception, car on n'a pas le vrai coupable, une suite serait-elle envisagée, je l’espère.
INFO DERNIÈRE MINUTE : L'auteur écrit actuellement la suite, aurais-je raison ?
INFO DERNIÈRE MINUTE : L'auteur écrit actuellement la suite, aurais-je raison ?
oui, il y a bien une suite qui devrait être envoyée bientôt à mon éditrice.
RépondreSupprimerMerci pour ce retour !